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Je suis Sébastien Dubois, écrivain de fantasy. Venez lire la saga Yurlh et vivre une aventure unique inspirée de mes centaines de parties de jeu de rôle.
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Je m'appelle Sébastien Dubois. Je suis écrivain de fantasy et maître de jeu de rôle depuis 40 ans. J'ai maitrisé plusieurs centaines de parties de JdR et créé mon propre univers qui s'intitule le Monde des Trilunes. C'est un univers médiéval fantastique. Aujourd'hui, je souhaite vous en faire profiter sous la forme d'une saga intitulée Yurlh.
Au crépuscule d’une guerre où chacun croit voir arriver sa dernière heure, un vieux mage rusé en profite pour mettre en jeu le destin de tous. Mais attention, il est dangereux d’inviter à sa table un barbare qui ne parle même pas votre langue. Il se pourrait bien qu’avant de déplacer son pion, il en mange beaucoup d’autres au passage. Et une fois sa panse bien remplie, finalement décide de graver, sur le plateau qu’est votre empire, son nom en lettres de sang : Yurlh !
Yurlh est un enfant barbare enlevé dès son plus jeune âge par l’Empire pour en faire un esclave de combat. Un guerrier sans pitié, un Hurleur sous une armure d'acier, lâché tel un fauve sur les champs de bataille pour creuser des plaies béantes dans les divisions ennemies. Si son corps est celui d'un homme, son âge mental reste celui d'un enfant. Ainsi, les lecteurs vont arpenter, au travers des yeux émerveillés de ce jeune barbare, les beautés mais aussi les affres de cet Empire dit civilisé.
Kaïsha est une panthérès, une femme-panthère agile et sûre d'elle. Elle est la seconde sur le navire d'esclavagiste où Yurlh va atterrir. Elle a gagné sa liberté à coups de fouet et de sacrifices. Son monde à elle, le navire du capitaine Korshac, semble inébranlable. Et pourtant, cet enfant au corps d'homme va rappeler à ses souvenirs, son désir de liberté.
Kwo est un aomen, une race à la tête allongée. C'est un roublard farfelu béni par Xyle, le dieu de la chance. Il a été engagé à tort dans les armées qui combattent l'Empire. Ses petits coups de voleur le conduisent à devenir le partenaire de rame du terrible combattant Yurlh.
Larlh Vecnys, la femme aux six bras. Une femme-araignée qui use de l'art du tatouage pour emprisonner sa sorcellerie. Elle maitrise la magie des liens et fait ainsi profiter aux uns ce qu'elle prend aux autres. C'est elle qui protège Yurlh avec un tatouage à douze têtes d'hydre, aussi effrayant que puissant. Mais pourquoi habille-t-elle ce barbare d'une telle armure, alors qu'aucun soldat ne peut faire le poids contre cette machine de guerre ?
Chèl Mosasteh est le devin impérial. L'éminence grise qui se cache derrière toutes les décisions de l'empereur. Très vieux et malade, il doit accomplir une mystérieuse prophétie qui ébranle déjà l'empire des Cités Rouges.
Tahiriana, prétorienne de Kisadyn, le dieu de la vérité. Envoyée par son mentor dans l'Empire afin d'en apprendre plus sur les agissements du Devin. Elle découvrira qu'elle est bien trop jeune pour affronter ce dangereux destin.
Yurlh est une saga de fantasy qui parle avant tout de tolérance. L'empire des Cités Rouges, cette belle civilisation à son apogée, est dirigée par les humains. L'empereur, le Magnus Kéol obtient tout ce qu'il souhaite. Et pourtant, sa soif de pouvoir semble intarissable. Alors qu'il est tout-puissant, pourquoi entretient-il cette discrimination envers les keymés (les mi-hommes mi-bêtes) ?
C'est un monde que j'ai commencé à créer il y a 40 ans pour appuyer mes campagnes de jeu de rôle sur un univers tangible. D'abord, il n'était qu'une carte, puis son histoire s'est écrite au fil des parties que je maitrisais. Aujourd'hui, cet univers existe.
Ci-dessus, la carte de la partie sud du Monde des Trilunes.
Des peuples : De puissantes femmes comme l'Impératrice des Sans Visage et d'autres rois tel le Rahazyr de Daïkama se disputent des terres peuplées de barbares qu'ils chassent pour mieux étendre leur influence sur des dizaines de races différentes et décrites en détail.
Des organisations : Des compagnies de mercenaires, les Gladiateurs de Mhent par exemple, se vendent aux plus offrants. Des organisations cachées agissent en sous-main, les Saigneurs du Crépuscule pour n'en citer qu'une, afin d'aider les puissants à mener leurs viles entreprises. Des magiciennes comme les Invocatrices de Chaèm immiscent leur sorcellerie par le tatouage. Alors que les Sorciers du Feu, bannis par les Braseros de Tulham, tentent d'imposer leur loi et de reprendre ce qu'ils croient être leur dû.
Des monstres : Cachés loin des cités ou tapis au fond des égouts, des monstres issus de la nature et des guerres divines n'attendent que des fous pour les dévorer.
Des dieux : Et tout cela se passe sous le regard des dieux. Anhouryn, la déesse de la fertilité, panse les blessures ouvertes pour le plaisir d'Ourak, le dieu de la guerre, entretenu par la colère de Thurl, le Seigneur Coléreux, dont tous les sous-fifres, comme Ackéros ou Irzol, n'attendent plus qu'une seule chose : son avènement. Heureusement que Chalhangar, le gardien, veille et s'amuse du chaos de Worh, dieu des tempêtes, même si les hommes tentent de l'apaiser avant de prendre la mer. Ce panthéon est décrit. Il est riche de plus de 35 divinités qui s'allient et s'affrontent au gré de leur puissance, diminuée ou augmentée par le nombre de leurs adeptes terrestres.
Des civilisations : Mais le Monde des Trilunes va beaucoup plus loin. Des manuels décrivent les routes commerciales et leurs denrées, les monnaies et leurs valeurs suivant les minerais abondants ou rares de chaque Etat. Les lois et les langues écrites sont l'apanage des Empires arborant l'étendard de la civilisation. Alors que les barbares tentent vainement de rester libres.
Je ne crée pas un monde ni n'imagine une histoire au fil de l'écriture de la saga Yurlh. Aujourd'hui, je retranscris ce que dans les manuels, il y a longtemps, il a été écrit et vécu. Sébastien Dubois.
Des années de liberté : Les années dans lesquelles j’ai grandi, les années 80-90 foisonnaient de nouveautés, s’inspirant des années précédentes déjà riches. Ainsi, je pouvais écrire mon prochain scénario de Donjons & Dragons en m’inspirant de The Thing de John Carpenter, tout en écoutant du Mike Oldfield. A aucun moment, mon imagination n’était en reste. J’ingurgitais également beaucoup de BD de Jodorowsky, Moebius, Bilal, Jean-Claude Gal etc... Mes joueurs pouvaient se retrouver poursuivis par des monstres dans un labyrinthe, peut-être aussi à cause des dizaines de parties de Pac Man et de Dig Dug.
Ce n’est pas pour rien que ces années fascinent. Il y a eu un tel bouillonnement de créativité entre les auteurs qu’elles ont été passionnantes. Et elles le sont toujours !
Mon rôle : Dans la première partie de ma vie, j'ai passé énormément de temps à faire jouer et plus encore à écrire des parties de jeu de rôle. Dans la seconde partie, j'ai créé des jeux (de cartes à collectionner, de rôle, de société). Et à chaque fois, j'ai toujours veillé à créer quelque chose d’un nouveau genre, afin d'apporter de nouvelles sensations aux joueurs.
Ma troisième vie : J'ai toujours tenté de transmettre, à plus de personnes, ces sensations que j'ai vécues dans ma cave en compagnie de mes amis. Toutes ces nuits à raconter des aventures sont pour moi, aujourd'hui, une manne d'histoires à conter. C'est pour cela que j'écris la saga Yurlh, pour faire vivre ces intenses sensations à un plus large public encore, à vous lectrices.eurs assoiffées de rêves.
Des centaines de chapitres : la saga s'étend déjà sur plusieurs centaines de chapitres. Vous allez vivre les aventures d'une petite équipe de personnages qui, à l'instar des joueurs de jeu de rôle, ne prendront pas forcément les bonnes décisions. Avec eux, vous vivrez leurs émotions, leurs peurs et leurs joies, un peu comme si vous étiez autour d'une table de jeu de rôle.
Des combats : A l'instar d'une partie de jeu de rôle, les combats dans Yurlh prennent aux tripes. On est au plus près de Yurlh, où l'on sent sa force, son endurance pour réussir à vaincre les monstres qui ne sont pas là pour se laisser tuer. Je me comporte tel un maître de jeu, prêt à faire souffrir les héros pour donner une chance à mes monstres. Comme dans une partie, les combats à l'issue incertaine peuvent s'étendre sur plusieurs heures, sur plusieurs pages, chapitres même.
Vous serez surpris : J'ai passé plusieurs milliers d'heures à tenir en haleine mes joueurs de jeu de rôle, durant de longues et interminables nuits. Croyez-moi, vous ne devinerez jamais ce qu'il va se passer !
L'envers du décors : Mieux encore, vous verrez évoluer ceux qui lors de campagnes de jeu de rôle, les PNJ, font avancer l'histoire. Et vous crierez : "Non, ne va pas par là !"
La mise en scène : Certains me disent que mon style d'écriture est très cinématographique. Et c'est normal, surtout après avoir vu presque tous les films des années 80-90, plusieurs fois même. Je m'inspire aussi des séries actuelles.
C'est pour cela que vous pourrez lire sur trois chapitres des scènes identiques mais vues au travers de trois regards différents. Le point de vue de chacun est relatif à notre propre vécu. J'aime le mettre en scène.
Des nouvelles : Pour aller plus loin, je proposerai des nouvelles qui détaillent la vie, un combat, une mini aventure d'un personnages que croisent les héros de la saga Yurlh. Plus j'aurais d'abonnés et plus cela me donnera envie de vous combler !
Et pourquoi pas aller plus loin : Je ne suis qu'un créateur, et ma faiblesse peut aussi me forcer à créer des histoires dans d'autres genres que la fantasy. J'aime de nombreux autres univers dont le post apocalyptique zombiesque, le fantastique. L'avènement de l'IA me bouscule et m'oblige à écrire sur la façon dont je vois le monde évoluer.
Je ne suis pas une IA : Parce que je ne suis qu'un humain, avec une âme. Parce que il y a des jours où j'ai la force d'écrire et d'autres où je me demande pourquoi. En tant qu'écrivain, j'ai besoin de sentir que d'autres êtres humains prennent du plaisir à lire mes histoires. Est-ce qu'une histoire existe vraiment si elle n'est pas lue ?
Je ne suis pas seul : Afin de vous proposer des textes de qualité, je fais appel à une correctrice. De plus, les dessins de couverture, les illustrations, ont tous été réalisés par des êtres humains que je paie (et pas avec des 0 et des 1). Car j'aime travailler avec d'autres artistes, c'est là ma passion.
L'illustration de couverture est de Camille Alquier. J'ai rencontré Camille lors du salon RPGers. https://www.instagram.com/camille_alquier/?hl=fr
La carte du monde, le lettrage du titre et nombres d'illustrations du jeu de rôle et des autres jeux sont de Raphaël Ollé Cervera.
Des illustrations de la carte du monde et la magnifique illustration du symbole des trois spectres est de Pheiloé Busido qui est aussi artiste tatoueuse. https://www.instagram.com/pheiloe.busido/.
La correction des textes est réalisé par Dradamante (c'est son nom de personnage).
Comme dans un jeu de rôle, on a besoin de tous les dés pour jouer. C'est pour cela que j'attache beaucoup d'importance à vous dire qu'un abonnement gratuit est tout aussi nécessaire que les abonnements payant.
Les membres gratuit : Pourront déjà découvrir les premiers chapitres de Yurlh.
Les membres payant : Vous avez plus une âme de mécène. Ce projet vous tient à cœur et vous souhaitez que le livre Yurlh soit édité. Afin de vous remercier, vous aurez accès à plus de chapitres en avant-première.
Par le biais du magazine trimestriel, Trilunes, vous aurez aussi accès à des nouvelles inédites, des illustrations d'anciens jeux, des news, du contenu sur le Monde des Trilunes, des scénarios de JdR et plein de magnifiques surprises au gré de mon inspiration.
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Sébastien Dubois.
PS : les dés que vous pouvez admirer, sont mes fidèles dés de JdR.