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La chaîne YouTube qui défake sur les fakes.
Outils et méthodes pour lutter contre la désinformation et les détournements de la science. Et pour que l'obscurantisme retourne à l'obscurité !
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Je m'appelle DEFAKATOR, et je défake sur les fakes.
Depuis 2016 je crée des vidéos pour contribuer à ma manière à la lutte contre la désinformation. L'objectif est que chaque citoyen acquière les superpouvoirs nécessaires pour détecter lui-même les fakes. Mes vidéos sont donc consacrées aux outils et méthodes qui permettent de développer son esprit critique, à l'éducation aux médias, et à la vulgarisation des bases scientifiques indispensables.
Sur YouTube
J'ai deux chaînes Youtube, la chaîne officielle où l'on peut suivre l'intégralité de mes aventures, et celle des formats courts ("Defakator vite fait") où je publie des extraits de quelques minutes sur des sujets précis, faciles à partager, et même régulièrement utilisés par des professeurs pour leur rigueur et leur simplicité.
Je n'ai pas un rythme de gros youtubeur, sur la chaîne officielle pour l'instant je publie en moyenne un épisode tous les deux mois dont le format varie :
Les durées et les thématiques varient. Comme je n'ai pas de producteur, de distributeur ou d'emmerdeur quelconque pour me fixer des règles, je fais ce que je veux de manière indépendante et je suis libre de parler de ce que je veux.
Je rencontre des experts des sujets que j'aborde, je me documente et je m'efforce d'avoir de la rigueur, ce qui n'empêche pas d'y mettre un peu d'humour aussi, parce qu'on n'est pas non plus là pour s'ennuyer.
Sur Twitch
Je fais aussi des streams sur Twitch :
Ce mode de financement pourrait me permettre de continuer l'aventure de cette chaîne, et en faire mon activité principale.
Je fais tout moi-même de l'écriture au montage, en passant par le tournage. Or, créer et modérer des contenus, c'est énormément de travail, de temps et d'énergie. Surtout lorsqu'on n'a pas la possibilité financière de réunir une équipe ou d'embaucher des collaborateurs, si ce n'est un comparse pour me donner la réplique.
Continuer l'aventure
Pour poursuivre cette activité à plein temps, j'ai besoin de trouver des sources de financement complémentaires aux revenus publicitaires de YouTube. En effet, la plateforme rémunère assez mal les créateurs de contenus sceptiques. Régulièrement, des vidéos sont démonétisées ou leur visibilité restreinte, dès que YouTube estime que les sujets sont trop sensibles pour ses annonceurs, ou considère que les vidéos font de la désinformation... alors même qu'elles ne reprennent de fausses infos que dans le but de les décortiquer. Je ne suis hélas pas un agent de la NASA payé grassement à diffuser des vérités officielles, contrairement aux allégations des partisans de la théorie du moonhoax qui n'avaient sans doute guère goûté ma foire aux questions sur l'espace.
Prendre de l'envergure
Le fait de pouvoir enfin me consacrer pleinement à la chaîne me permettrait peut-être d'adopter un rythme de production plus régulier, ce qui faciliterait au passage la recommandation de la chaîne par l'algo de YouTube.
Et par la suite, si le financement le permettait, j'aimerais évidemment pouvoir viser des contenus plus ambitieux, avec davantage de déplacements sur le terrain si je pouvais faire appel à des techniciens pour étoffer les tournages, avec également du matériel supplémentaire. Et pourquoi pas aussi, mettre davantage de personnages à l'écran pour intégrer une part de fiction plus conséquente entre les séquences d'enquête.
Pas de contreparties
Ne produisant que des vidéos, je n'ai rien à offrir en contrepartie des dons et des abonnements. Mais symboliquement, les plus gros donateurs peuvent apparaître dans les génériques de fin des épisodes de la chaîne officielle. Et à défaut de vous offrir une contrepartie, voici une contrepèterie, c'est déjà ça : attention, la cuvette est pleine de bouillons.
Enfin n'étant pas une association d'intérêt général ou reconnue d'utilité publique, le don à ma chaîne n'ouvre pas droit à réduction d'impôts, et je ne délivre pas de reçus fiscaux.
Comme tout citoyen qui regarde la manière dont notre société évolue dans ce nouveau millénaire (et en particulier lorsqu'on est né dans le précédent) je suis préoccupé par la montée de la désinformation, la manière dont les réseaux sociaux l'amplifient dans des bulles de filtres où se polarisent les débats, et surtout la façon dont la science est détournée ou décrédibilisée, parfois dans des buts idéologiques ou politiques, ou plus tristement encore, pour simplement tirer profit de la crédulité des autres.
Que l'obscurantisme retourne à l'obscurité !
Cette devise que je répète en fin de vidéo résume toute la démarche de la chaîne. Derrière la formule un peu grandiloquente, on sent bien que l'ambition est vaguement démesurée, mais ça n'empêche pas de devoir y aller, parce qu'à un moment il va bien falloir se confronter au problème.
Contre la désinformation, on a tous un rôle à jouer, chacun à son niveau. On est tous des super héros potentiels, il suffit de s'y mettre... et en plus, on n'est même pas obligés de porter une cape.
D'ailleurs, pour être franc : la cape, je vous la déconseille. À la moindre petite brise elle se soulève, et on a vite fait d'avoir le derrière découvert, ce qui fait finalement un peu nul sur les photos. Je ne vous conseille pas davantage la combi en lycra, c'est peu respirant, et si vous la prenez sombre vous serez en nage au moindre rayon de soleil. Au-delà de ça, la condition de super héros elle-même n'est guère enviable, on est mal reconnus, le statut juridique est flou, et notre affligeante administration ne nous facilite guère la tâche, au moment de déterminer de quel régime de retraite on va dépendre, ou la caisse dans laquelle on devra cotiser. Le vrai problème du super héros, c'est sans doute qu'il n'existe pas.
Je suis bien conscient que mon costume plutôt bon marché est aussi merdique que mon choix de pseudo. Mais ça fait partie de la démarche... ne plus s'arrêter aux apparences et s'affranchir du superficiel, pour enfin s'intéresser au fond !